L’electro et la chanson française se rencontrent et font le sexe dans le noir. Critique et écoute.
L’electro comme une pression tellurique et minimaliste, la chanson comme un dérèglement (de comptes) : ce quatrième album œuvre au noir c’est noir et délivre des vignettes souvent interrogatives et désarmantes de sincérité (Comment lutter, A quoi me fier), mais toujours crépusculaires. Les fulgurances, tel ce duo arachnéen avec Carmen Maria Vega, pallient alors les imprécations doloristes (Je voudrais que tu sois morte). Philippe Prohom y réalise assez idéalement la synthèse entre Dominique A et Depeche Mode.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}