Liam Gallagher, Stormzy ou encore Disclosure, de nombreux artistes britanniques témoignent de leur déchantement sur les réseaux sociaux.
Le Royaume-Uni claque la porte de l’Union Européenne. Une annonce qui a produit une onde de choc dans le monde de la musique. Cela faisait plusieurs semaines que les artistes britanniques témoignaient de leur soutien au « remain ». Ils manifestent aujourd’hui leur déception sur les réseaux sociaux, tour d’horizon de leurs réactions.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Suite à l’annonce du départ de David Cameron, le rappeur Stormzy demande combien de retweets lui sont nécessaires pour devenir le nouveau Premier Ministre.
How many retweets do I need to become prime minister
— #MERKY (@Stormzy1) 24 juin 2016
D’autres, comme Disclosure ou Liam Gallagher, veulent juste quitter le pays
Moving to Mars with Bowie
— Disclosure (@disclosure) 24 juin 2016
Stop the world im getting off LG x
— Liam Gallagher (@liamgallagher) 24 juin 2016
Même déception pour Alex Kapranos, chanteur de Franz Ferdinand, « Ok. Je me barre. Me barre d’ici. Quel jour sombre. Aucun intérêt de se vautrer dans la merde. »
Right. I’m off. Off here. What a grim grim day. No point wallowing in the shit.
— alex kapranos (@alkapranos) 24 juin 2016
Le chanteur s’en est également pris à la génération de baby-boomers, « la génération la plus égoïste, baignée dans l’abondance par les précédentes générations, ils ont tous pris des générations futurs. »
https://twitter.com/alkapranos/status/746235917099098113
Le rappeur Novelist a quant à lui voulu transmettre un message plutôt transparent à David Cameron.
Fuck David Cameron – https://t.co/Km6dpSvUAP
— Novelist (@Novelist) 24 juin 2016
Lilly Allen, déplorait, « le dernier crack, on pouvait s’en prendre aux banquiers, cette fois, c’est uniquement de notre faute ».
My TL is full of #Brexit gloating, who will be the worst effected.Last crash at least we could blame the bankers, now we can only blame…us
— Lily Allen (@lilyallen) June 24, 2016
D’autres ont fait part de leur incompréhension, c’est le cas du groupe londonien Bastille, « Qu’est-ce qu’il se passe? »
What the hell is going on?
— BASTILLE (@bastilledan) 24 juin 2016
{"type":"Banniere-Basse"}
