Festival musical proposé par l’Institut du monde arabe, Arabofolies revient du 9 au 18 mars. Les événements se déclineront autour des émotions suscitées par la romance, la passion, l’amour.
À l’occasion de l’exposition Habibi, les révolutions de l’amour, organisée jusqu’au 19 mars, le festival Arabofolies questionne, pour sa première déclinaison de l’année 2023, les multiples formes que prend ce sentiment et les émotions qui en découlent. Du 9 au 18 mars, concerts, performances et projections investissent l’Institut du monde arabe comme autant de regards différents portés sur cette thématique universelle.
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Au programme, Émilie Hanak aka Yelli Yelli, qu’on avait aperçue sous le nom de Milkymee, son premier projet. Mêlant folk kabyle et rock indé, elle embrasse l’identité de Yelli Yelli, “la fillette” en kabyle, pour une virée introspective au cœur de ses racines. Rasha Nas, guitariste de formation, multi-instrumentiste, chante et compose un mélange singulier au croisement du jazz, du classique et du rock. Rompue à la scène, elle viendra conter son rapport au monde et le manque de son pays, et de l’être aimé. Également présent, le projet HALS, duo formé par Oum (chant) et M-Carlos (machines), qui présentera une pièce en sept actes comme autant d’émotions.
Autour de ces événements musicaux, le festival proposera également un concert-performance mené par le chanteur indie queer Mous Bahri, la projection du film La Mélodie de l’espoir (de Djamel Fezzaz, 1993) suivie d’un concert de Djalti, “l’ange du raï”, ainsi qu’un karaoké géant dans la droite ligne de l’exposition Habibi, célébrant les icônes du dancefloor sous le signe de la liberté et de la fête.
Autant de lectures et de déclinaisons musicales de ce que sont l’amour et ses formes contemporaines, au plus près des émotions.
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