Il n’y aura pas de second concert de Beyoncé au Stade de France. Accusée d’être responsable de la situation, Valérie Pécresse répond à la polémique par une merveille de vidéo sur ses réseaux.
“À tous les fans de Beyoncé, j’ai un message pour vous”, écrit Valérie Pécresse en description de sa vidéo partagée sur les réseaux sociaux. La politicienne répond à une polémique qui fait rage depuis plusieurs heures : les fans de Beyoncé la tiennent pour responsable de l’impossibilité d’organiser un second concert de la chanteuse au Stade de France.
En effet, Live Nation, qui organise le Renaissance World Tour de Beyoncé, avait envisagé une seconde date pour faire suite au premier concert du 26 mai, dont les places se sont écoulées en moins d’une heure. Seulement, cette deuxième date serait tombée le lendemain, samedi 27 mai, et des travaux sur le RER B auront lieu ce jour-là. Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France, a donc été prise pour responsable. “Il paraît que c’est de ma faute”, répond la politicienne dans sa vidéo, qui veut “rectifier les choses : je n’y suis rigoureusement pour rien !”
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“J’ai le dos large, mais faut pas charrier”
Elle se justifie ensuite : “Les dates de travaux des transports qui amènent au Stade de France sont connues deux ans à l’avance, et tous les professionnel·les de l’événementiel le savent !” Valérie Pécresse met donc en cause le producteur de Beyoncé, qui “a commis un erreur et mis en vente des places a une date qui était rigoureusement impossible et intenable”, selon elle.
“Moi, j’adore Beyoncé”, conclut ensuite la présidente de la Région Île-de-France sur fond musical de Crazy in Love, avec un ton peu naturel. Elle se permet même quelques traits d’humour : “J’ai le dos large, mais faut pas charrier”, puis un bon conseil adressé à Queen B : “La prochaine fois, il faudra prendre un producteur qui vérifiera que le stade est disponible à la bonne date.”
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