Les enfants de célébrités en une du “New York Magazine”, “Le Grand Numéro de Chanel” qui s’illustre en musique, la rencontre entre Moose Knucles et Telfar, l’artiste d’avant-garde Yayoi Kusama à l’honneur chez Louis Vuitton… c’est le cool de la semaine.
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Le Nepo-Baby Boom
“Elle a les yeux de sa mère. Et son agent”, titre le New York Magazine en une de sa dernière édition de l’année. Le bimensuel américain a choisi de proposer à ses lecteurs une analyse du phénomène des “nepo babies”, un néologisme désignant les artistes ayant hérité d’une place à Hollywood grâce à l’influence de leurs parents. Sur Instagram et TikTok, les vidéos analysant le phénomène se multiplient depuis l’été, dénonçant une variante de la reproduction des élites modernes. Une ferveur contre les enfants de stars laissant deviner en creux un questionnement sur la place de la méritocratie aujourd’hui.
L’esprit Chanel en musique
Après avoir fêté les cent ans de son parfum culte n°5, la maison Chanel présente jusqu’au 9 janvier une nouvelle exposition exceptionnelle au Grand Palais Éphémère intitulée “Le Grand Numéro de Chanel“. Pour l’occasion, la maison offre une carte blanche au compositeur et interprète Bertrand Burgalat à travers l’élaboration d’un vinyle inédit. Entre John Cale et la composition de deux chansons, Mémoires d’une goutte de parfum et Étranges sillages, Bertrand Bugalat traduit en son les effluves de la maison.
Une garde-robe hivernale métallisée
Alors que les coloris métalliques reviennent sur les podiums, le géant canadien du vêtement d’extérieur Moose Knuckles s’associe au créateur queer Telfar Clemens à travers une capsule de 24 pièces mêlant or et reflets argentés. Une esthétique entre Blade Runner et Le Jour d’après pour une collection qui réhabilite le cabas à monogrammes caractérisant Telfar.
Les petits pois de Yayoi Kusama chez Louis Vuitton
Après une première collaboration en 2012, la maison de luxe française renouvelle sa collaboration avec l’artiste japonaise connue pour ses motifs pois. Prêt-à-porter, souliers, accessoires, malles et même parfums : la collaboration permet de relire l’ensemble de la garde-robe Louis Vuitton avec des pièces graphiques, abattant la frontière entre art et mode.
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