Jusqu’à récemment, c’est surtout en tant que surfeur que Farryl Purkiss avait représenté son pays (l’Afrique du Sud).
C’est sans surprise donc, qu’on apprend que le jeune homme, par ailleurs mannequin et musicien, s’est rapidement lié d’amitié avec celui qui pourrait être son équivalent hawaïen, Jack Johnson, rencontré, selon la légende, alors que ce dernier tentait d’échapper aux groupies d’un autre ami surfeur à jolie frimousse, Kelly Slater.
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Même son de guitare, mêmes ballades et même position délicate chez ces deux songwriters : pile-poil entre folk soigné et pop mainstream (Better Days, Times Like These). Farryl Purkiss, qui a aussi côtoyé Hawksley Workman ou Ben Lee, écrit des chansons plutôt gentilles qui gagneraient cependant à ce que leur auteur délaisse les sentiers battus, boude les drapeaux verts.
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