L’excellent week-end d’ouverture outre-Atlantique du 29ème volet du Marvel Cinematic Universe confirme sa bonne santé au box-office. En parallèle, “Les Minions 2” ralentit et Tom Cruise s’accroche au podium.
La foudre vient de s’abattre sur Les Minions 2 : Il était une fois Gru. Le nouveau volet du MCU, Thor : Love and Thunder de Taïka Waititi démarre en trombe outre-Atlantique et subtilise la première place du classement aux Minions pour son week-end d’ouverture, avec 143 millions de dollars engrangés dans 4 375 salles selon Le Film Français. Un score largement supérieur aux précédents volets consacrés au Dieu du tonnerre : 65 millions pour le premier, réalisé à l’époque par Kenneth Branagh, 85 millions pour le deuxième, Thor : Le monde des ténèbres d’Alan Taylor, et, enfin 122 millions pour Ragnarok déjà réalisé par Taïka Waititi. S’il tient sur la durée, Love and Thunder peut aisément espérer atteindre les 400 millions de dollars au box-office domestique, et viser le milliard à l’international. On en reparle vendredi lorsque nous décrypterons ses performances hexagonales.
À la deuxième place, Les Minions 2 donc, le film de Kyle Balda, Brad Ableson et Jonathan Del Val, qui s’est imposé la semaine dernière comme le plus gros score d’ouverture de tous les temps pour un 4 juillet américain. Après un premier week-end à 108 millions de dollars, celui-ci chute de 57% et s’offre 45,5 millions de dollars supplémentaires, dans un total de 4 427 salles, pour son deuxième week-end, portant son total à 210 millions. Une baisse assez vertigineuse, qui augure un succès certes important, mais probablement pas supérieur aux 336 millions récoltés par le premier volet.
A la troisième place, encore lui, toujours lui : l’insatiable Tom Cruise s’accroche et s’offre 11 millions de dollars supplémentaires sur 3 513 écrans à l’issue de son septième week-end d’exploitation. À l’heure actuelle, Top Gun : Maverick a donc engrangé pas loin de 600 millions de dollars au box-office nord-américain (597,4 exactement). Alors qu’il s’envole dans le même temps vers un sixième million d’entrées en France, Pete « Maverick » Mitchell n’est pas près d’atterrir.