Avec “Break My Soul”, Beyoncé motive ses fans à se libérer de leurs chaînes en quittant leur travail. Quelques semaines à peine après la sortie du single, les États-Unis croulent déjà sous les démissions.
Il semblerait que les fans américain·es de Queen B aient pris sa dernière chanson au pied de la lettre. Dans Break My Soul, la chanteuse appelle à quitter son emploi et à s’échapper de l’aliénation du travail au profit de l’épanouissement personnel. “Je suis tombée amoureuse, j’ai quitté mon job, je vais trouver un nouveau moteur, ils me font travailler beaucoup trop dur”, chante-t-elle dès le premier couplet. Depuis, les médias et réseaux sociaux recensent d’ores et déjà une multitude de fans témoignant de leur démission.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
L’hymne de la “grande démission”
Si Break My Soul deviendra certainement l’hymne de cette grande vague de démissions, celle-ci relève d’un phénomène post-Covid-19 qui ne date pas d’aujourd’hui. En effet, depuis juillet 2020, des millions d’Américain·es insatisfait·es de leur travail ont décidé de quitter leur poste. Une prise de conscience généralisée qui pourrait bien traverser les frontières et a déjà envahi les réseaux, notamment avec les hashtag #Quitmyjob et les “quit-tok”. Avec Break My Soul – issu de son futur album Renaissance – Beyoncé perpétue ainsi un phénomène de remise en question existentielle qui ne demande qu’à s’étendre.
{"type":"Banniere-Basse"}