Cinq ans après avoir décollé grâce à un concours musical belge, le chanteur belgo-égyptien dévoilera “Sahar”, son second disque, le 23 septembre.
Une voix dont on ne se lasse décidement pas. Après en avoir bouleversé plus d’un sur son premier album, Amir, en 2018, qui conviait un millier d’influences et des sonorités orientales qui s’imposaient presque naturellement pour ce garçon d’Égypte à la fougue rock de quelques Muse ou Radiohead, Tamino dessine les contours d’un second disque, Sahar, bien abouti.
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Pour cet album prévu le 23 septembre, le musicien s’est plutôt bien entouré, conviant Colin Greenwood, légendaire bassiste de Radiohead et le batteur Ruben Vanhoutte.
En avril dernier, le chanteur sortait un sombre et intriguant premier single, The First Disciple. Pour Fascination, Tamino fait taire cette folk arabe qui semble le rattraper sans cesse, et regarde cette fois un peu plus du côté de l’Occident, avec un morceau au songwriting encore impeccable. Le signe d’une liberté trouvée pour cet artiste qui, il y a encore cinq ans et avant un concert retransmis un peu par hasard à la télévision belge, était inconnu du grand public.
Tamino sera en concert le 16 juin au Café de la Danse à Paris.
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