La série de création Canal+ s’annonce plus loufoque que jamais : au programme, de la barbe à papa extraterrestre, des cochons en fuite, et une comparaison entre une merguez et une centrale nucléaire.
C’est avec une joie non dissimulée que l’on retrouve le scientifique cartésien Didier Mathure dans ses nouvelles péripéties cosmiques : cette fois-ci, c’est une barbe à papa géante, de plusieurs mètres de haut, qui est l’objet de tous les fantasmes et de toutes les recherches du groupe de scientifiques.
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Dans ce décor hyper fake, coloré façon années 1970, le professeur Mathure et ses acolytes Rémy Bidaut, Véra Clouseau, ou encore son ex-femme, l’ingénieure Élise Conti, tentent d’élucider le mystère de cette confiserie gigantesque.
1979, année ufologique
Cette fois-ci, nous sommes en 1979, que Canal+ décide d’appeler “année ufologique” : on retrouve le groupe Gepan plus d’un an après la fin de la saison 1, dans un tour de France en van destiné à prêcher la bonne parole autour des ovnis et à alerter les populations de leur existence. Didier, scientifique aguerri et rigoureux, est devenu un “illuminé”, rejeté des siens, mais convaincu de son nouveau discours sur les objets extraterrestres.
Le trailer nous prépare à une saison 2 d’OVNI(s) loufoque et barrée, où le kitsch des années 1970 côtoie les débats actuels sur le nucléaire, à travers le prisme de l’absurde : Melvil Poupaud semble encore plus débordé que jamais par ses découvertes spatiales, tandis que Géraldine Pailhas campe l’ex-femme du scientifique, plus conquise que jamais à la cause qu’il défend. Daphné Patakia et Quentin Dolmaire retrouvent leurs rôles d’employé·es de Gepan, le centre de recherche consacré aux ovnis.
On verra également les comédien·nes Alice Taglioni, Michel Vuillermoz et Jonathan Lambert graviter autour de ces obsédé·es de l’espace. Les douze épisodes de la série seront diffusés à partir du 21 février prochain sur Canal+.
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