Neman, Étienne Jaumet et Doc Schönberg dévoilent “Nusquam et Ubique”, chanté dans la langue de Sénèque, premier extrait de “Vae Vobis”, un nouvel album attendu le 25 mars chez Born Bad Records.
En voilà trois qui n’ont rien retenu du concile Vatican II, au cours duquel, en 1965, l’Église catholique revoyait les formes de sa liturgie en abandonnant la messe en latin.
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Zombie Zombie, après quelques années d’absence discographique (toute relative, les membres du trio vaquant chacun à leurs occupations à l’image des récents faits d’armes d’Étienne Jaumet aux côtés de Laurent Bardainne), signe son grand retour avec Nusquam et Ubique, un nouveau morceau chanté dans la langue de Sénèque.
Il est annonciateur d’un nouvel album, Vae Vobis, attendu le 25 mars chez Born Bad Records et s’écoute ici et maintenant.
Le consortium t’aime, viens à lui
Cinq ans après Livity (2017), Zombie Zombie s’est à nouveau attaché les services du dessinateur Philippe Druillet (Métal hurlant), associé cette fois à Dimitri Avramoglou, pour illustrer une pochette que l’on croirait inspirée des vestiges laissés sur l’Île de Pâques par quelque antique civilisation.
Côté musique, Nusquam et Ubique, outre ses chœurs en latin annonçant l’avènement d’on ne sait trop quelle ère de “doomnation” (vous l’avez ?), évoque les grands moments du trio, lorsque celui-ci se met en branle telle une machine à susciter la transe, avec sa montée en puissance (et en BPM), ses synthétiseurs maniaques et cette batterie asymétrique prodigieuse qui semble dire un truc de l’Apocalypse qui vient. N’y allons pas par quatre chemins : cet album réserve encore bien des surprises.
À noter également : après quinze ans de bons et loyaux services sous la bannière Versatile, le triptyque sortira Vae Vobis chez Born Bad Records. A noter encore : pour fêter la sortie de ce nouvel album, Zombie Zombie sera en concert le soir-même, le 25 mars, à la Maroquinerie (Paris XX).
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