Nosferatu, chef-d’œuvre de l’expressionisme allemand, est déjà passé dans l’inconscient collectif. On peut y lire aujourd’hui une métaphore pertinente de notre monde qui s’enfonce. Moins vu et moins mythique, Le Dernier des hommes n’en est pas moins magnifique. En s’attachant à la déchéance d’un homme en pleine crise de Weimar là encore, le contexte […]
Nosferatu, chef-d’œuvre de l’expressionisme allemand, est déjà passé dans l’inconscient collectif. On peut y lire aujourd’hui une métaphore pertinente de notre monde qui s’enfonce. Moins vu et moins mythique, Le Dernier des hommes n’en est pas moins magnifique. En s’attachant à la déchéance d’un homme en pleine crise de Weimar là encore, le contexte peut se transposer sans problème en 95 Murnau imagine un langage narratif totalement neuf, avec une caméra d’une mobilité inédite à l’époque. La syntaxe cinématographique était déjà très complète dans les années 20.
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