L’unique originalité de ces Bad girls (titre en VO), entraperçues lors du dernier renouveau éphémère du western genre moribond qui sort de son tombeau tous les dix ans , est d’être des prostituées de saloon qui, contraintes par les événements, se métamorphosent en cowgirls. Idée pas forcément nouvelle grâce à laquelle le réalisateur peut […]
L’unique originalité de ces Bad girls (titre en VO), entraperçues lors du dernier renouveau éphémère du western genre moribond qui sort de son tombeau tous les dix ans , est d’être des prostituées de saloon qui, contraintes par les événements, se métamorphosent en cowgirls. Idée pas forcément nouvelle grâce à laquelle le réalisateur peut passer pour féministe, tout en copiant allégrement au passage quelques morceaux de bravoure de Peckinpah. Kaplan n’a pas tenu les promesses de son premier film, fort remarqué à l’époque Violences sur la ville (1979) , regard sec et nerveux sur la délinquance juvénile.
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