Le troisième long métrage en vingt-deux ans d’un plasticien, qui réalisa en 1972 une belle œuvre-mosaïque sur la banlieue, L’Italien des roses. Malheureusement ici, Charles Matton délaisse toute ambition formelle et, en s’inspirant de ce qu’on imagine être un épisode de son enfance, il tombe dans des schémas à la fois conventionnels et douteux : […]
Le troisième long métrage en vingt-deux ans d’un plasticien, qui réalisa en 1972 une belle œuvre-mosaïque sur la banlieue, L’Italien des roses. Malheureusement ici, Charles Matton délaisse toute ambition formelle et, en s’inspirant de ce qu’on imagine être un épisode de son enfance, il tombe dans des schémas à la fois conventionnels et douteux : l’histoire d’un petit garçon pendant l’Occupation, dont la famille accueille dans son château une escouade de soldats nazis finalement assez attachants… Des SS cools et sympas, quoi. On voit le (mauvais) genre !
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