De la version espagnole du Dracula des années 30 aux films de momies et de catcheurs masqués, une veine fantastique vivace parcourt l’histoire du cinéma mexicain. Guillermo del Toro a repris le flambeau, et comme son baptême hollywoodien nous a valu depuis le très convaincant Mimic, justement salué par Cronenberg, voilà deux bonnes raisons d’aller […]
De la version espagnole du Dracula des années 30 aux films de momies et de catcheurs masqués, une veine fantastique vivace parcourt l’histoire du cinéma mexicain. Guillermo del Toro a repris le flambeau, et comme son baptême hollywoodien nous a valu depuis le très convaincant Mimic, justement salué par Cronenberg, voilà deux bonnes raisons d’aller y voir de plus près. Le parrainage de Dionnet devrait suffire à vouer aux goules les derniers sceptiques.
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