Quand Fellini filme « Je me souviens », difficile de ne pas suivre. On retrouve la bande de jeunes dés’uvrés des Vitelloni, le climat de l’école de Roma, et le passage d’un grand paquebot illuminé annonce E la nave va. En plongeant dans ses souvenirs d’enfance, Fellini signe un film-palimpseste, grouillant de personnages échappés d’un film précédent […]
Quand Fellini filme « Je me souviens », difficile de ne pas suivre. On retrouve la bande de jeunes dés’uvrés des Vitelloni, le climat de l’école de Roma, et le passage d’un grand paquebot illuminé annonce E la nave va. En plongeant dans ses souvenirs d’enfance, Fellini signe un film-palimpseste, grouillant de personnages échappés d’un film précédent avant de rejoindre le suivant. Et dire qu’en un an de salles, on n’a pas même le souvenir d’un film italien.
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