Deux copains et une fille en cavale commettent quelques braquages. A la suite d’une fusillade avec la police, l’un des deux garçons est emprisonné. Son ami décide alors d’échanger leurs identités et de se présenter à son père, un célèbre metteur en scène de théâtre qui n’a jamais vu son fils, dans l’intention de lui […]
Deux copains et une fille en cavale commettent quelques braquages. A la suite d’une fusillade avec la police, l’un des deux garçons est emprisonné. Son ami décide alors d’échanger leurs identités et de se présenter à son père, un célèbre metteur en scène de théâtre qui n’a jamais vu son fils, dans l’intention de lui extorquer le maximum d’argent. Le père se lie d’amitié avec son faux fils, tandis que ce dernier couche avec la maîtresse de son faux père et se retrouve pris à son propre piège, commençant à éprouver des sentiments filiaux pour sa victime. D’un scénario déjà vu mais toujours passionnant, Extasis ne fait rien, débute comme un polar sans intérêt pour s’enliser ensuite dans le feuilleton psychologique. Ce n’est pas Mariano Barroso qui va révolutionner l’idée reçue, sévère mais juste, sur la médiocrité de la production ibérique. Extasis au titre très mensonger ne relève pas le niveau des quelques films de jeunes réalisateurs espagnols qui sortent en France, caractérisés par une laideur toute télévisuelle et un désir de cinéma indistinct.
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