Les toiles de Paula Rego, artiste née à Lisbonne en 1935 animée par la rage de créer, pourfendent l’hypocrisie des convention morale bourgeoise. Famille, Etat et religion en prennent pour leur grade aux yeux de celles qui passera le plus clair de son temps dans la capitale anglaise. Seule femme de l’école de Londres, elle côtoya Francis Bacon, Lucien Freud ou David Hockney. A 83 ans, elle est l’une de ces oubliées de l’histoire de l’art officielle que l’on redécouvre peu à peu.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
« Les contes cruels de Paula Rego », au Musée de l’Orangerie du 17 octobre au 14 janvier
{"type":"Banniere-Basse"}