Le 6 octobre, la Nuit blanche du Générateur, épicentre alternatif et performatif, donne le coup d’envoi de leur [frasq] annuel et événementiel.
« A contre-courant alternatif », voici le mot d’ordre lancé par le pôle d’attraction qu’est Le Générateur pour décrire ses [frasq] 2018. Pour bien faire, ce pôle positif ouvre cette rencontre de la performance le 6 octobre par une Nuit blanche en donnant carte tout aussi blanche à Biño Sauitzvy, chercheur-danseur italo-brésilien, qui ouvrira Entre chien et loup, performance collective (re)mixant théâtre, musique vidéo et danse. De quoi confondre le jour et la nuit, le noir et le blanc.
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Suivront trois soirées dont on ne peut rien vous dire, et pour cause… Les vendredi 12, dimanche 14 et samedi 20 octobre accueillent Pile ou [frasq] soit autant de scènes ouvertes aux performances tous azimuth(ée)s, pivots de l’ensemble de la manifestation quand on connaît le degré d’ouverture que génèrent la chorégraphe-danseuse Anne Deyfus et le peintre-photographe Bernard Bousquet dans cet espace de liberté.
Rendez-vous est aussi à prendre le samedi 13 pour l’intrigant Cette dame est coincée dans l’ascenseur à frémir entre les planètes d’Eléonore Didier qui donne d’emblée envie de s’élever dans l’espace avec l’énergie de l’espoir. Attendus aussi ce soir-là le palindromesque AHA de Sarah Venturi à suivre dans tous les sens et La Grande Ours de Mathilde Monfreux, inspirée de Sang et stupre le travail féministe de Kathy Acker. Alors, branchez-vous sur Le Générateur et tous à Gentilly pour performer la tête dans les étoiles.
[frasq]#10 rencontre de la performance du a 6 au 20 octobre au Générateur de Gentilly (94)
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