Spinner recense les cinquante riffs de guitare les plus marquants de l’histoire. Parmi eux, les éternels Layla d’Eric Clapton (Derek and the Dominos), Smoke On The Water de Ritchie Blackmore (Deep Purple) et Walk This Way de Joe Perry (Aerosmith).
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Mais le classement a le mérite d’insérer certaines perles du funk : Sing A Simple Song de Freddie Stone (Sly and The Family Stone) et le génial riff de Hit It and Quit It de Eddie Hazel (Funkadelic), « seul guitariste à avoir concurrencé Jimi Hendrix à la pédale wah-wah. »
Le grand gagnant de ce top 50 est évidemment Keith Richards pour (I can get no) Satisfaction. Le guitariste décrit d’ailleurs dans son autobiographie le contexte dans lequel il a écrit cette chanson : après s’être réveillé en pleine nuit, dans une chambre d’hôtel, il a saisi le petit enregistreur portatif qu’il transportait partout avec lui, et a eu le temps d’immortaliser trois choses : la phrase « I can get no satisfaction », la suite de trois accords la plus célèbre de l’Histoire, et quarante minutes de ronflements.
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