Quelques heures après le puissant tremblement de terre survenu au Népal, Mark Zuckerberg, patron de Facebook, annonçait, via son profil, l’activation du programme “Safety Check” permettant aux utilisateurs présents dans la zone touchée de se déclarer “en sécurité”. Une fois activé, le programme localise les utilisateurs à proximité du site de la catastrophe, et leur envoie une notification […]
Quelques heures après le puissant tremblement de terre survenu au Népal, Mark Zuckerberg, patron de Facebook, annonçait, via son profil, l’activation du programme « Safety Check » permettant aux utilisateurs présents dans la zone touchée de se déclarer « en sécurité ».
Une fois activé, le programme localise les utilisateurs à proximité du site de la catastrophe, et leur envoie une notification leur demandant de confirmer s’ils sont « en sécurité » ou non. Ceux qui répondent « Je vais bien » génèrent une notification, envoyée à leurs amis. « Lorsque survient une catastrophe, les gens ont besoin de savoir si leurs proches vont bien. Ce sont dans des moments comme ceux-là qu’il est vraiment essentiel de pouvoir se connecter » a estimé Zuckerberg sur son Facebook.
Lancé à l’automne dernier, le programme « Safety Check » a été conçu suite au tsunami survenu au Japon en 2011, comme le raconte le communiqué publié en octobre dernier: « Nos ingénieurs au Japon ont commencé à réfléchir à un programme permettant d’améliorer le fait de se reconnecter après une catastrophe« .
Cependant, comme le note The Atlantic, les smartphones sont rares au Népal, un des pays les plus pauvres d’Asie, et six Népalais sur sept ne sont pas inscrits sur Facebook.