Malgré leurs grands écrans tactiles et leurs millions d’applications téléchargeables, les smartphones ne séduisent pas tout le monde. Certains restent nostalgiques des portables minimalistes avec appels et SMS comme seules options, sans oublier un éventuel “jeu du serpent”. Les marques de mobiles l’ont bien compris. Windows vient de sortir un nouveau “dumb phone” (comprendre téléphone stupide, par opposition au […]
Malgré leurs grands écrans tactiles et leurs millions d’applications téléchargeables, les smartphones ne séduisent pas tout le monde. Certains restent nostalgiques des portables minimalistes avec appels et SMS comme seules options, sans oublier un éventuel « jeu du serpent ».
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Les marques de mobiles l’ont bien compris. Windows vient de sortir un nouveau « dumb phone » (comprendre téléphone stupide, par opposition au « smartphone« ) : le Nokia 105. Une version rééditée après le succès de la première, vendue à 80 millions d’exemplaires entre 2013 et 2015 selon Quartz.
Le site d’information explique que ces téléphones peuvent être un bonne entrée en matière pour les enfants. Ils sont aussi l’apanage de ceux qui refusent de garder la tête plongée dans leur écran toute la journée, et peuvent être utilisés par les grand-parents, pas très à l’aise avec la technologie.
Les « dumb phones » peuvent aussi être des téléphones de seconde main. Avec des batteries longue durée, contrairement aux smartphones, certains les utilisent lorsqu’ils font du camping, ou durant un festival de musique. Selon Quartz, même les fondateurs de l’application « What’s app », Brian Acton et Jan Koum en posséderaient un, qu’ils utilisent lorsqu’ils partent en voyage.
Si le marché des téléphones basiques devrait baisser de 200 millions d’euros dans les quatre ans à venir, il garde du potentiel. Les marchés africains et asiatiques sont souvent cités. « On estime que d’ici dix ans, environ 300 millions de Subsahariens auront en main leur premier téléphone mobile », rapporte Slate.fr. En Chine et en Inde, les smartphones ne représentent que respectivement 50 % et 10 % du marché des téléphones portables.
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