Rien ne certifie que Jésus soit revenu des morts, mais il a peut-être connu lors de sa crucifixion une petite mort. Une mort violente peut en effet créer une érection post-mortem: lors d’un accident ou d’une pendaison, un afflux de sang vers le bas du corps peut provoquer une érection. Qui peut dans certains mener à l’éjaculation. Le Saint-Suaire, drap […]
Rien ne certifie que Jésus soit revenu des morts, mais il a peut-être connu lors de sa crucifixion une petite mort. Une mort violente peut en effet créer une érection post-mortem: lors d’un accident ou d’une pendaison, un afflux de sang vers le bas du corps peut provoquer une érection. Qui peut dans certains mener à l’éjaculation. Le Saint-Suaire, drap maculé de ce que l’on suppose être des traces du sang du Christ, pourrait-il alors avoir été souillé aussi par la semence du messie ?
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Le drap, exposé en ce moment à Turin, aurait recouvert le cadavre de Jésus, descendu de la croix. A la fin du XIXe siècle un photographe avait réussi a y faire apparaître ce qu’il distinguait comme le visage et le corps de Jésus. Mais aucune prélèvement de sperme n’a jamais été tenté sur le tissu.
« Le détail le plus atroce de la Passion du Christ »
Certains ecclésiastiques et autres curieux se demandent pourtant pourquoi les bras de Jésus ont été rabattus, de manière à ce que ses mains se rejoignent au niveau de son sexe. D’autant que comme le rappelait dans un ouvrage de 1978, un curé du nom de père Côme : « Pour croiser les mains du supplicié sur la région pubienne, ce qui dissimule son sexe, il a fallu rabattre les bras le long du corps malgré la rigidité cadavérique portée au degré suprême par la tétanie propre à la crucifixion. Cela prouve la volonté des ensevelisseurs provisoires de masquer quelque chose qui était intolérable à leurs yeux. »
Pour le père Côme, ce que cachent ces mains est évident: « ce quelque chose, c’est le sperme du Christ. C’est le réflexe, noté ailleurs par quelques médecins légistes, consécutif aux pendaisons ou aux crucifixions. » Un dernier tressaillement qui constitue selon le clerc : « le détail le plus atroce de la Passion du Christ« . Pour l’instant, ces tâches restent une hypothèse, mais il y a, rappelle le père Côme, « à notre portée, sur le Saint Linceul, la possibilité de vérification directe, lorsqu’on le voudra ».
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