Les émojis ont la force des mots. C’est ce qu’un adolescent américain a récemment découvert après avoir posté sur son compte Facebook des émoticônes représentant des pistolets sur la tempe d’un policier. Le jeune homme de 17 ans avait enchaîné les émojis et les messages de menaces comme “si ce connard me suit, je vais […]
Les émojis ont la force des mots. C’est ce qu’un adolescent américain a récemment découvert après avoir posté sur son compte Facebook des émoticônes représentant des pistolets sur la tempe d’un policier.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Le jeune homme de 17 ans avait enchaîné les émojis et les messages de menaces comme « si ce connard me suit, je vais le faire exploser », d’après Buzzfeed. La seule référence à la police dans ses messages était exprimée par l’émoticône qui représente un officier. Trois jours après avoir posté ces messages, il a été arrêté par la police de New York pour avoir procédé à des « menaces terroristes« .
Comme le rappelle le site américain, le délit de « menace terroriste », puni de sept ans de prison, est très large. Cependant, l’accusation doit pouvoir prouver que la personne avait proféré de vraies menaces et non pas fait une blague. C’est d’ailleurs sur cette défense que compte miser l’avocat de l’adolescent, qui a déclaré :
« Quand quelqu’un met un émoji dans un message, il est évident qu’il veut blaguer, et qu’il n’a pas l’envie d’intimider qui que ce soit. »
Reste à la justice de se prononcer.
{"type":"Banniere-Basse"}