Après l’affaire DSK et l’arrestation, quelques jours plus tard, d’un homme d’affaires égyptien pour une affaire similaire dans un autre hotel new yorkais, le Wall Street Journal affirme que les deux hôtels concernés (le Sofitel dans le premier cas et le Pierre dans le second) ont accepté d’équiper leurs femmes de chambre de « Panic Buttons ». Peter Ward, president du New York Hotel & Motel Trades Council, qui représente 30 000 salariés du secteur, a ainsi déclaré:
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« Faisons savoir à tous les voyageurs du monde qui arrivent à New York que lorsqu’ils résident dans un hotel local, la personne qui fait la chambre est armée d’un bouton qu’elle peut immédiatement utiliser s’ils sont assez stupides pour se comporter de manière inappropriée. »
Une porte-parole de l’hôtel Pierre a confirmé la mise en place de ces alarmes portatives. Le syndicat voudrait les rendre obligatoires. Une proposition de loi aurait également été déposée en ce sens dans l’Etat de New York.
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