Un graphique réalisé par Vulture et repéré par Slate.fr résume la carrière de l’excellent Bill Murray. L’axe des ordonnées va de ses rôles joyeux à ses rôles tristes, l’axe des abscisses s’étendant de ses rôles de “couillons” à ses rôles plus affables. “Dans beaucoup de ses premières comédies, dans les années 80, même s’il joue […]
Un graphique réalisé par Vulture et repéré par Slate.fr résume la carrière de l’excellent Bill Murray. L’axe des ordonnées va de ses rôles joyeux à ses rôles tristes, l’axe des abscisses s’étendant de ses rôles de « couillons » à ses rôles plus affables. « Dans beaucoup de ses premières comédies, dans les années 80, même s’il joue le personnage principal et finit par faire quelque chose d’héroïque, il peut être un vrai couillon tout au long du film » explique Vulture. Sans surprise, on retrouve dans la partie « triste » ses rôles chez Wes Anderson (The Royal Tenenbaums et Moonrise Kingdom), Sofia Coppola (Lost in Translation) et Jim Jarmusch (Broken Flowers), avec, à chaque fois, plus ou moins de couillonnerie. Du côté des « joyeux-couillons », la palme revient à son personnage dans Ghostbusters.