Toujours bloqué à l’ambassade équatorienne à Londres, Julian Assange se présente malgré tout aux élections sénatoriales en Australie avec son nouveau parti baptisé, sans surprise, Parti Wikileaks, comme le confirme un tweet. Des soutiens de Wikileaks – dont son père, John Shipton – l’ont en effet inscrit hier à la Commission électorale australienne pour le […]
Toujours bloqué à l’ambassade équatorienne à Londres, Julian Assange se présente malgré tout aux élections sénatoriales en Australie avec son nouveau parti baptisé, sans surprise, Parti Wikileaks, comme le confirme un tweet. Des soutiens de Wikileaks – dont son père, John Shipton – l’ont en effet inscrit hier à la Commission électorale australienne pour le siège de sénateur de Victoria.
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Assange a déclaré la maison de sa mère, à Mentone, comme adresse afin d’être éligible. D’après Mashable, il y aurait vécu jusqu’en juin 2010. Or, selon le quotidien australien The Age, les citoyens australiens vivant à l’étranger peuvent concourir à un poste de sénateur si leur départ de l’Australie remonte à trois ans maximum et s’ils ont prévu d’y revenir dans les six ans suivant leur date de départ. Assange a précisé que si, une fois élu, il ne pouvait retourner en Australie, un autre membre du Parti Wikileaks le remplacerait à son poste. Ne reste plus qu’à inscrire ledit parti auprès de la Commission électorale.
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