La Société civile des personnels de Libération (SCPL), qui représente les salariés au Conseil de surveillance du journal, a vivement réagi à la une du journal ce 8 avril et de l’article en page 2 intitulé Une possible affaire Fabius tétanise l’Elysée. “La SCPL déplore que Libération ait relayé ce matin une rumeur sans fondement sur […]
La Société civile des personnels de Libération (SCPL), qui représente les salariés au Conseil de surveillance du journal, a vivement réagi à la une du journal ce 8 avril et de l’article en page 2 intitulé Une possible affaire Fabius tétanise l’Elysée.
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« La SCPL déplore que Libération ait relayé ce matin une rumeur sans fondement sur un prétendu compte en Suisse de Laurent Fabius, avec pour effet de l’accréditer. Notre travail de journaliste ne consiste pas à rendre publique une rumeur, mais à enquêter pour savoir si elle correspond à des faits. Ce travail élémentaire n’a pas été fait, annonce la SCPL dans un communiqué, avant d’ajouter : il s’agit là d’une faute déontologique grave ».
Le texte pointe ensuite la responsabilité du directeur de la rédaction, Nicolas Demorand, dans « la mauvaise gouvernance du journal » et exige l’élection d’un nouveau directeur de la rédaction, réclamée par 94% de l’équipe d’après les résultats d’un vote organisé le 19 mars.
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