Chaque année, Spike Lee distribue à ses étudiants de NYU une liste de 87 films essentiels. Fin juillet, le réalisateur américain a décidé de partager cette liste avec les internautes du monde entier en la publiant dans le cadre de son projet Kickstarter visant à financer son prochain film (histoire, donc, de se faire un […]
Chaque année, Spike Lee distribue à ses étudiants de NYU une liste de 87 films essentiels. Fin juillet, le réalisateur américain a décidé de partager cette liste avec les internautes du monde entier en la publiant dans le cadre de son projet Kickstarter visant à financer son prochain film (histoire, donc, de se faire un bon coup de pub’). Mais la liste ne comportait que des réalisateurs masculins, ce qui avait hérissé les poils de plus d’un internaute et déclenché un mini-scandale.
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Ni une ni deux, Spike Lee a amendé sa liste le 20 août, y ajoutant sept films réalisés par des femmes:
« The Piano » (La Leçon de piano) de Jane Campion (1993)
« Daughters of the Dust » de Julie Dash (1991)
« The Hurt Locker » (Démineurs) de Kathryn Bigelow (2008)
« The Seduction of Mimi » (Mimi métallo blessé dans son honneur) de Lina Wertmuller (1972)
« Love and Anarchy » (Film d’amour et d’anarchie) de Lina Wertmuller (1973)
« Swept Away » (Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l’été) de Lina Wertmuller (1974)
« Seven Beauties » (Pasqualino) de Lina Wertmuller (1975)
Mais, comme le relève IndieWire, les femmes ne représentent que 6,44% de la liste… ce qui fait tout de même très peu.
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