“Il n’y en a pas dans notre ville.” Voilà comment le maire de Sotchi, Anatoly Pakhomov, a résumé la situation des homosexuels là où se dérouleront dans quelques jours les Jeux olympiques d’hiver. Une ville sans lesbiennes, gays, bi ou trans, voilà qui a de quoi étonner. Et pourtant, l’élu persiste et signe : “Nous disons […]
“Il n’y en a pas dans notre ville.” Voilà comment le maire de Sotchi, Anatoly Pakhomov, a résumé la situation des homosexuels là où se dérouleront dans quelques jours les Jeux olympiques d’hiver. Une ville sans lesbiennes, gays, bi ou trans, voilà qui a de quoi étonner. Et pourtant, l’élu persiste et signe :
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“Nous disons juste que c’est votre affaire, votre vie, a-t-il continué. Mais ce n’est pas admis ici dans le Caucase dans lequel nous vivons. Notre hospitalité sera accordée à tous ceux qui respectent les lois de la Fédération russe et qui n’imposent pas leur mode de vie aux autres.”
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