Après le New York Times en octobre dernier, c’est au tour du Guardian, journal anglais basé à Londres, de s’intéresser (enfin) au cas Stromae. Avec un titre un peu joueur, un peu drôle, et un peu agaçant aussi (Stromae – the Europop megastar you’ve never heard of = Stromae, la mégastar de l’europop dont vous […]
Après le New York Times en octobre dernier, c’est au tour du Guardian, journal anglais basé à Londres, de s’intéresser (enfin) au cas Stromae. Avec un titre un peu joueur, un peu drôle, et un peu agaçant aussi (Stromae – the Europop megastar you’ve never heard of = Stromae, la mégastar de l’europop dont vous n’avez jamais entendu parler), ce long papier revient sur l’émergence et le succès de l’artiste Belge et francophone, à travers son deuxième album que tout un chacun connait bien de ce côté-ci de la Manche, Racine Carrée.
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Avec humour, et dans un anglais « mélodieusement accentué », Stromae parle de ses influences et des « compromis à la Belge ». En vrai, le Guardian avait déjà parlé de Stromae il y a quelques mois. C’était dans cet article citant notamment les Inrocks comme une « bible culturelle », eh ouais, et qui fabulait un peu autour d’une certaine « génération perdue » (rapport aux textes mi-tristes mi-contents).
Des idées peut-être bien résumées dans ce commentaire d’une lectrice du Guardian :
« Finally an article about Stromae! He is wonderful, mixing tough subjects and poetic lyrics with strong, empowering rhythms. The author really makes a point when he says that this is the anti-Adele school of pop. It depicts life as you know it — often full of sadness, misunderstandings and failures, how refreshing! — and yet it feels okay: the human experience is presented as inherently flawed (meaning we all go through pain, you don’t have it worse than others) and energetic, aesthetic lyrics allow you to turn the ugly into something really quite beautiful. »
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