Le projet de Mark Zuckerberg de rendre internet accessible partout dans le monde prend un nouvel élan. Le fondateur de Facebook a annoncé hier dans un post que le dispositif qu’il a créé à cet effet – nom de code Internet.org – est en train de se doter d’une équipe d’experts en aéronautique, réunis dans […]
Le projet de Mark Zuckerberg de rendre internet accessible partout dans le monde prend un nouvel élan. Le fondateur de Facebook a annoncé hier dans un post que le dispositif qu’il a créé à cet effet – nom de code Internet.org – est en train de se doter d’une équipe d’experts en aéronautique, réunis dans le « Connectivity Lab ». Le maillage planétaire d’internet peut commencer.
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Selon lui, ce dispositif a déjà permis à trois millions d’utilisateurs de rejoindre la toile en 2013 au Paraguay et aux Philippines. Mais avec le « Connectivity Lab », il annonce son intention de mettre les bouchées doubles. L’opération « va nécessiter l’invention de nouvelles technologies », avertit le jeune milliardaire, d’où la nécessité de réunir les meilleures têtes chercheuses de l’aéronautique (il compte sur des drones et autres satellites pour parvenir à ses fins). Des cerveaux issus de la Nasa, de l’Ames Research Center, mais aussi de la start-up britannique Ascenta, à l’origine du Zephyr, le drone solaire détenteur du record mondial de durée de vol ininterrompue (deux semaines, en 2010), l’ont déjà rejoint.
Pas en manque d’ambitions, ni de moyens, Facebook serait en passe de racheter l’entreprise fabricante de drones Titan Aerospace, pour 60 millions de dollars. Une source a confirmé cette information à la CNBC, mais rien n’a encore été officialisé. Les drones solaires de Titan sont réputés pour pouvoir rester en suspension dans l’espace pendant cinq ans sans interruption. Les deux-tiers de la population mondiale n’ont toujours pas accès à internet. L’appétit de Zuck n’en demande pas tant.
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