Les dix comportements les plus passifs-agressifs sur les réseaux sociaux

Quand vous avez quelque chose de désagréable ou triste à dire sur les réseaux sociaux, autant le faire simplement. Parce que les insinuations tordues sont finalement bien plus perverses qu’une assertion négative mais bien compréhensible. Mashable a liste les dix comportements les plus « passifs-agressifs » sur Twitter, Facebook ou Instagram. Extraits :

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• La fausse humilité

« Je peux pas croire que je viens de signer mon premier CDI alors que je sors à peine d’école, le tout dans la boîte de mes rêves #chance #alléluia #reconnaissanceeternelle »

Vu que tu viens de signer ton CDI, tu peux bel et bien commencer à y croire et payer le champagne au lieu de frimer en feignant l’humilité.

• Le « vaguebooking »

« Ras-le-bol de cette situation. On me prend pour un con. Je ne sais même plus pourquoi je reste… »

Variante : un selfie joues creuses ou ventre très plat accompagné d’une légende du genre « Le seul avantage des soucis, c’est que ça fait perdre du poids #meilleurregime »

Si vraiment il y a un souci, mieux vaut en parler clairement ; le soutien de vos proches n’en sera que plus spontané.

• L’obsession orthographique

Signaler une faute en commentaire sous un statut d’un pote, pourquoi pas. Signaler deux fautes, bof. Signaler trois fautes : non. Si vous avez une intolérance pour les fautes – y compris sur les réseaux sociaux – à la limite, signalez la faute en DM. Ou prenez une grande inspiration et passez à autre chose.

• Le « déjà-vu-déjà-fait »

Quand vous croyez avoir déniché dans les tréfonds du Web LE Gif, LA photo ou LE lien qui va faire vibrer tous vos potes, il arrive qu’un rabat-joie commente « ah oui, j’ai vu ça hier ». Sous-entendu « t’es pas le premier à l’avoir vu » et « personnellement, j’ai pas trouvé ça digne d’intérêt, mais tant mieux pour toi si ça t’amuse ». En vrai, ça fait un peu « blasé aigri » de poster ce genre de commentaire.