On avait quitté Nadine Morano en train de remettre un coup de blanc sur les murs de son salon, dimanche dernier. Dimanche bricolagePetite fille de maçon italien, j’ai toujours eu un goût prononcé pour le bricolage. Un coup de… Posted by Nadine Morano on dimanche 16 août 2015 “Un coup de peinture, changement de décor, comme une […]
On avait quitté Nadine Morano en train de remettre un coup de blanc sur les murs de son salon, dimanche dernier.
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Dimanche bricolagePetite fille de maçon italien, j’ai toujours eu un goût prononcé pour le bricolage. Un coup de…
Posted by Nadine Morano on dimanche 16 août 2015
« Un coup de peinture, changement de décor, comme une nouvelle page de la vie », écrivait alors la plus sarkozyste des Républicains, la député européenne Nadine Morano. Hier, dans Le Parisien, elle a surpris son monde en évoquant son avenir politique : « Qu’est-ce qui m’interdirait de servir mon pays ? » « Pourquoi pas moi ? » confie-t-elle au quotidien à l’évocation de l’Elysée en 2017.
Le Parisien explique qu’elle doit annoncer sa décision dans les semaines à venir. Quitte à affronter avec son champion Nicolas Sarkozy, qui lui a laissé un strapontin chez les Républicains et a préféré sa « coqueluche montée sur échasses » – comprendre NKM –, rapporte le quotidien. Plus question d’être sacrifiée. Pour lui, elle était « prête à tuer ». « C’est un amour déçu, elle reviendra », parient les sarkozystes. Pas sûr. « Je défendrai moi-même mes idées », prévient Morano.
Nadine Morano finit par évoquer ses modèles en politiques. Outre Nicolas Sarkozy donc, elle dit s’inspirer d’Angela Merkel, Margaret Thatcher et de Simone Weil. Sans oublier, le général de Gaulle : « Quand tu penses à ce qu’il a subi pendant la guerre… et je fléchirais devant le mépris de quelques-uns ?
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