Dans une étude publiée lundi dans Nature, des scientifiques d’Harvard expliquent qu’ils ont réussi à inverser le processus de vieillissement chez des souris génétiquement modifiées, une première mondiale. Grâce à cette découverte, l’auteur principal de l’étude, le professeur Ronald DePinho, espère pouvoir fabriquer un jour des pilules « anti-vieillissement » qui nous permettraient de vivre en meilleure santé (mais pas plus longtemps). Une transposition chez l’homme qui devrait prendre « des années et des années », d’après le chercheur.
Des souris rajeunies en laboratoire, et bientôt des humains?
Publié le 1 décembre 2010 à 11h10
Mis à jour
le 1 décembre 2010 à 11h10