Le rappeur américain 50 Cent à été arrêté samedi soir sur l’ile de Saint-Christophe aux Antilles alors qu’il donnait un concert au St. Kitts Music Festival. Il avait pourtant été prévenu. Les organisateurs du festival lui avaient demandé de ne pas employer de langage vulgaire pendant sa prestation rapporte le TMZ. Mais lorsque arrive le morceau […]
Le rappeur américain 50 Cent à été arrêté samedi soir sur l’ile de Saint-Christophe aux Antilles alors qu’il donnait un concert au St. Kitts Music Festival.
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Il avait pourtant été prévenu. Les organisateurs du festival lui avaient demandé de ne pas employer de langage vulgaire pendant sa prestation rapporte le TMZ. Mais lorsque arrive le morceau « P.I.M.P », face à 40 000 spectateurs, 50 Cent n’a pas su se maîtriser. L’artiste n’a pus s’empêcher de répéter le mot « motherfuckin ». La faute au DJ, qui n’aurait pas eu la bonne version du morceau.
Une insulte à 1 800 dollars
Des propos qui n’ont pas plu aux autorités locales. Convoqué au commissariat, l’artiste a été contraint de payer une amende de 1800 dollars avant de quitter l’archipel. Utiliser un langage vulgaire en public est en effet illégal aux Antilles.
Amanda Ruisi, porte-parole de Curtis James Jackson (le vrai nom de 50 Cent-ndlr) a expliqué dans un communiqué publié sur le site TMZ :
« Il était seulement invité, mais à son arrivée, on lui a proposé de monter sur scène et d’accompagner le DJ. Malheureusement, ce dernier n’avait pas les bonnes versions de ses titres, raison pour laquelle il a lâché quelques gros mots. »
D’après le rappeur, le spectacle a été un vrai succès. Il a affirmé que « pour les futurs voyages à St. Kitts, il laissera les grossièretés aux Etats-Unis ». Ayant demandé son placement en faillite personnelle, 50 Cent aurait peut-être mieux fait de se contenter d’une version censurée de son célèbre morceau.
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