Le rendez-vous est fixé entre Emmanuel Macron et ses partisans : le ministre de l’Economie et fondateur du parti En Marche! organise son premier meeting le 12 juillet à la Mutualité, à Paris. C’est le sénateur-maire PS de Lyon, Gérard Collomb – qui a choisi de soutenir le ministre-banquier –, qui l’annonce dans au JDD. De quoi relancer […]
Le rendez-vous est fixé entre Emmanuel Macron et ses partisans : le ministre de l’Economie et fondateur du parti En Marche! organise son premier meeting le 12 juillet à la Mutualité, à Paris.
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C’est le sénateur-maire PS de Lyon, Gérard Collomb – qui a choisi de soutenir le ministre-banquier –, qui l’annonce dans au JDD. De quoi relancer les spéculations sur sa possible candidature à la présidentielle de 2017. Selon l’édile lyonnais, elle se ferait « naturellement » à deux conditions : que François Hollande reste bas dans les sondages et qu’Emmanuel Macron, lui, progresse.
Candidat ou pas candidat ?
Les récents sondages semblent plaider en sa faveur. Selon une enquête TNS Sofres-OnePoint pour RTL, LCI et Le Figaro, dans le cas où le président de la République ne se représente pas, Emmanuel Macron arriverait en tête auprès des sympathisants PS pour l’élection présidentielle avec 40% des voix contre 25% pour Manuel Valls. Auprès des Français en général, il atteint aussi 31%.
Ainsi, en dépit des polémiques qui ont entaché sa réputation – notamment celle qu’il a déclenchée en déclarant que « le meilleur moyen de se payer un costard, c’est de travailler » -, le scénario de sa candidature n’est pas à exclure. D’autant plus que, n’ayant pas sa carte au PS, il ne pourra pas participer à la primaire de gauche.
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