En dépit des polémiques dont il a été l’auteur ou dont il a fait l’objet, Emmanuel Macron continue de tenir le haut du panier pour 2017. Selon le sondage TNS Sofres-OnePoint pour RTL, LCI et Le Figaro, dans le cas où le président de la République ne se représente pas, Emmanuel Macron arriverait en tête auprès des […]
En dépit des polémiques dont il a été l’auteur ou dont il a fait l’objet, Emmanuel Macron continue de tenir le haut du panier pour 2017. Selon le sondage TNS Sofres-OnePoint pour RTL, LCI et Le Figaro, dans le cas où le président de la République ne se représente pas, Emmanuel Macron arriverait en tête auprès des sympathisants PS pour l’élection présidentielle avec 40% des voix contre 25% pour Manuel Valls. Auprès des Français en général, il atteint aussi 31% contre 21% pour le premier ministre mais se fait éclipser par Jean-Luc Mélenchon auprès des sympathisant de gauche (36 contre 25%).
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Mais quand je vois Macron préféré chez les sympathisants PS, je me dis qu'il n'y a vraiment plus rien à faire pour eux !
— 54LILLY φ Prof de LP retraitée qui enrage. (@54Lilly) June 16, 2016
Pas le monopole non plus
Cependant, les choses sont à relativiser si François Hollande se représente. Quand on examine le sondage, Emmanuel Macron n’apparaît pas en tête dans tous les cas de figure. En effet, auprès des sympathisants de gauche, il ne détient que la quatrième position avec 20%, derrière Jean-Luc Mélenchon (qui perce avec 35%), Nicolas Hulot (qui surprend avec 23%) et Manuels Valls (21%).
#Macron candidat préféré de la gauche #présidentielle2017 enfin un élan progressiste à gauche en France https://t.co/i1Aej0d7DV
— Renaud Tarrazi (@RenaudTarrazi) June 17, 2016
En outre, les sympathisants de gauche (86%) comme ceux du PS (87%) désirent une primaire à gauche, ce qui serait « tout bénéfique pour Emmanuel Macron », juge l’Opinion ce matin. Et si Emmanuel Macron n’est pas candidat à la présidentielle, du moins pas pour l’instant, les réactions n’ont pas tardé, notamment sur Twitter. Le réseau social a recueilli les soutiens et critiques envers le ministre de l’Economie, ce dernier ne laissant en tout cas pas indifférent.
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