Que celui qui n’a jamais été “ghosté”, lâche son like sur ce post. Sous cette nouvelle appellation, on désigne le fait de rompre brutalement avec quelqu’un sans lui donner de nouvelles. Autrement dit, ignorer la personne, malgré ses éventuelles relances, jusqu’à ce qu’elle finisse par comprendre. Such a bitch for not sleeping with him for […]
Que celui qui n’a jamais été « ghosté », lâche son like sur ce post. Sous cette nouvelle appellation, on désigne le fait de rompre brutalement avec quelqu’un sans lui donner de nouvelles. Autrement dit, ignorer la personne, malgré ses éventuelles relances, jusqu’à ce qu’elle finisse par comprendre.
8 jeunes sur 10
D’après une étude menée par l’application de rencontre PlentyofFish et relayée par Mashable, 8 jeunes sur 10 reconnaissent s’être déjà fait “ghoster”. Sur 800 personnes interrogées, près de 80 % avouent avoir déjà été ignorées après une conversation. S’il est difficile de défendre le “ghosting”, un internaute anonyme s’y est aventuré :
“ C’est la peur de passer à côté de quelque chose, ou quelqu’un, qui vient après. Parce que c’est très facile de passer à autre chose et de se débarrasser de quelqu’un, la personne suivante pourrait être la bonne et c’est plus facile de disparaître. C’est peut-être un peu méchant, mais ça fait partie du dating game ; ce n’est pas comme si on était dans une relation. ”
Fear of Missing Out
Cette “peur de passer à côté de quelque chose” (fear of missing out en anglais), pourrait inciter à ghoster : 15 % des gens interrogés disent avoir déjà organisé plusieurs rendez-vous le même soir.
Aujourd’hui, même les célébrités s’y mettent : Demi Lovato avoue avoir déjà eu recours à cette technique tandis que Sean Penn prétend avoir été “ghosté” par sa compagne Charlize Theron.
Charlize Theron évoque sa rupture avec Sean Penn https://t.co/wd6fSpGrxD pic.twitter.com/kZgx1mniSI
— Paris Match (@ParisMatch) March 29, 2016