L’idée lui a au moins traversé l’esprit. L’édition du lundi 20 février du Parisien révèle que François Fillon a pensé mettre fin à sa course à la présidentielle, doute qu’il a confié à Nicolas Sarkozy le 15 février dernier lors d’un déjeuner. Empêtré dans le “PenelopeGate”, le candidat de la droite a expliqué à l’ancien Président […]
L’idée lui a au moins traversé l’esprit. L’édition du lundi 20 février du Parisien révèle que François Fillon a pensé mettre fin à sa course à la présidentielle, doute qu’il a confié à Nicolas Sarkozy le 15 février dernier lors d’un déjeuner. Empêtré dans le « PenelopeGate », le candidat de la droite a expliqué à l’ancien Président « combien cette crise a été brutale pour sa famille« . Si brutale qu’il a vraiment songé à abandonner sa candidature, comme l’exigent plus de 65 % des Français, y compris parmi ses sympathisants.
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« Je m’en remets au suffrage universel »
Ces états d’âmes semblent bien loin du Fillon d’aujourd’hui. Même de celui du 17 février, qui se déclarait candidat envers et contre tout : « Je m’en remets désormais au suffrage universel. Ma décision est claire : je suis candidat et j’irai jusqu’à la victoire ». Et ce malgré son allocution solennelle au JT de TF1 le 26 janvier, lors de laquelle il assurait qu’une mise en examen serait la seule chose qui l’empêcherait d’être candidat…
Le Parisien explique que Nicolas Sarkozy a rappelé à celui qui fut son « collaborateur » qu' »une mise en examen, ça n’est pas une preuve de culpabilité« , et qu’il n’aurait donc pas dû lier son avenir à cet éventuel développement judiciaire.
Revenant sur son serment, Fillon restera candidat même s’il était mis en examen. Qui a dit : « Je n’ai qu’une parole, mais pas de mémoire » ?
— Gérard Miller (@millerofficiel) February 19, 2017
mais en fait yen a ils sont suspendu pdt 5 ans de tt examen/concours nationaux pr triche au bac par ex, mais Fillon peut devenir président ????
— jaune fragile (@jaunefragile) February 17, 2017
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