Lazarus, comme Lazare, comme une renaissance. Une renaissance dans l’obscurité, la bizarrerie, le tortueux : David Bowie, icône indéboulonnable malgré tout, semble ne jamais vouloir cesser de renaître, à chaque ère, à chaque disque, avec un nouveau visage, sous une nouvelle forme, dans un autre univers, avec un autre concept, un autre storytelling, une autre […]
Lazarus, comme Lazare, comme une renaissance. Une renaissance dans l’obscurité, la bizarrerie, le tortueux : David Bowie, icône indéboulonnable malgré tout, semble ne jamais vouloir cesser de renaître, à chaque ère, à chaque disque, avec un nouveau visage, sous une nouvelle forme, dans un autre univers, avec un autre concept, un autre storytelling, une autre présence, une autre absence surtout.
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Déjà présentée à la TV US dans le show de Stephen Colbert, mais interprété à la surprise de tous par l’acteur principal de la série Dexter, Michael C. Hall, Lazarus est désormais doté d’un clip officiel : aussi beau, aussi bizarre et aussi profond que le morceau lui-même, il est visible ici-même et fascine dès ses premières images.
Lazarus fait suite au déjà très surprenant premier single-titre de l’album Blackstar, album passionnant dont nous avons parlé ici en avant première : il sera disponible demain, et le monde pourra briller d’une lumière différente, spectrale et passionnante.
Quant à ceux qui voudraient réviser l’histoire de cet infini Dorian Gray avant de plonger dans les méandres de Blackstar, ils peuvent le faire avec le documentaire David Bowie, l’homme cent visages ou le fantôme d’Hérouville, conçu par Gaëtan Chataigner et Christophe Conte et visible à cette adresse.
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