Certains sont peintres de paysages, d’autres sont peintres de métro. Azyle, la quarantaine, est une légende vivante du graffiti. Un peintre de l’ombre qui a bien failli s’y retrouver : sa cote – négative – est estimée par la Justice à 190.000 euros. Une estimation spéculative du montant du remboursement des dégâts causés par les […]
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Certains sont peintres de paysages, d’autres sont peintres de métro. Azyle, la quarantaine, est une légende vivante du graffiti. Un peintre de l’ombre qui a bien failli s’y retrouver : sa cote – négative – est estimée par la Justice à 190.000 euros. Une estimation spéculative du montant du remboursement des dégâts causés par les trois dernières années de sa carrière illégale. Si Il a longtemps évité toute médiatisation de son travail et ne souhaitait pas s’exprimer sur son parcours, Azyle a changé de stratégie pour mettre en lumière le procès qui l’oppose depuis des années à la RATP et dans lequel il démonte, en détail, les très opaques estimations produites par la partie civile qui aimerait l’envoyer à l’asile. Entretien inédit, face caméra mais face cachée.
Retrouvez le portrait du graffeur Azyle sur Mediapart, signé Hugo Vitrani.
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