En 2004, année du chant du cygne de la série Sex & the City, sortait le sequel Bridget Jones : l’âge de raison, chick movie nous collant aux basques de l’éternelle célibataire endurcie. Douze ans plus tard, alors que Girls a succédé à Desperate Housewives en terme de représentation audacieuse des émois féminins à l’écran, l’inénarrable Bridget […]
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En 2004, année du chant du cygne de la série Sex & the City, sortait le sequel Bridget Jones : l’âge de raison, chick movie nous collant aux basques de l’éternelle célibataire endurcie. Douze ans plus tard, alors que Girls a succédé à Desperate Housewives en terme de représentation audacieuse des émois féminins à l’écran, l’inénarrable Bridget nous revient enfin avec un troisième volet paré de ce titre aux sonorités polanskiennes : Bridget Jone’s Baby. Ce premier teaser, sous fond de maternité et de passage (définitif) à l’âge adulte, relance une fois de plus la recette truffaldienne du triangle amoureux. Le so british Colin Firth se confronte désormais à Patrick « Grey’s Anatomy » Dempsey. Constat :Hugh Grant nous manque. Le deuil semble impossible.
Apparemment plus proche de la tonalité rose bonbon des dernières comédies romantiques de Gary Marshall (Valentine’s Day) que du phrasé piquant de Richard Curtis, scénariste des deux premiers volets et réalisateur de rom’coms emblématiques (Quatre mariages et un enterrement, Love Actually), cette bande annonce laisse circonspect – l’épisode de trop ? – mais l’empathie ressentie à l’égard du personnage générationnel de Renée Zellwegger aura certainement raison de notre réticence.
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