Sixième volet des recettes pompettes. C’est à Daphné Bürki cette fois, de répondre à l’invitation de Monsieur Poulpe, sur sa chaîne YouTube. L’humoriste en a profité pour questionner celle qui sera sur D8 aux commandes de La Nouvelle Edition. Une vidéo repérée sur Ozap. “France 2 refait toute sa grille, Canal+ aussi, M6, toutes les chaînes […]
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Sixième volet des recettes pompettes. C’est à Daphné Bürki cette fois, de répondre à l’invitation de Monsieur Poulpe, sur sa chaîne YouTube. L’humoriste en a profité pour questionner celle qui sera sur D8 aux commandes de La Nouvelle Edition. Une vidéo repérée sur Ozap.
« France 2 refait toute sa grille, Canal+ aussi, M6, toutes les chaînes refont leur grille. Qu’est-ce que tu penses de cette période-là qu’on est en train de vivre ? » demande M Poulpe à une Daphné visiblement touchée par les shots. Solide et courageuse, elle répond : « Je viens d’un monde, par exemple la mode, où c’est beaucoup plus violent que ça. En fait, j’ai plus de la peine pour les autres. Je me dis juste – j’espère que les autres ne souffrent pas trop. Mais moi ça va… Je suis un peu en roc, ou en marbre. »
Daphné Bürki est une des seules à avoir résisté au coup de hache de Bolloré sur la grille des programmes pour la rentrée prochaine, contrairement à Yann Barthès, Maïtena Biraben, Ali Baddou ou Ophélie Meunier. Emportée par la houle alcoolisée, l’animatrice de 36 ans termine sans filet, sur la place des femmes dans les médias : « Ce qui est très étrange… Et même mes amis vont me dire… Hier tu étais super – Ah bon, pourquoi ? – tu étais bien coiffée, tu étais bien habillée… – OK, mais je parlais de quoi ? – Ah bah je sais pas. »
Un dernier mot sur le Grand Journal et Michel Denisot, avec qui elle a co-animé l’émission pendant une saison : « Je n’ai juste pas très bien compris cette année. Je parle aujourd’hui avec toi d’un truc dont j’ai jamais vraiment parlé même avec mes parents… Je n’ai jamais compris ce que j’ai appris cette année-là. A part, maintenant il peut m’arriver n’importe quoi, je ne bougerai pas d’un poil« .
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