La boîte The Asylum part d’un principe commercial hybride, épousant les velléités de la série B voire Z italienne des années 70 et 80 (recyclant à tour de bras les grands succès de la pop culture US) tout en privilégiant les tonalités de la parodie porn, sous-genre popularisé par diverses maisons de productions – comme […]
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La boîte The Asylum part d’un principe commercial hybride, épousant les velléités de la série B voire Z italienne des années 70 et 80 (recyclant à tour de bras les grands succès de la pop culture US) tout en privilégiant les tonalités de la parodie porn, sous-genre popularisé par diverses maisons de productions – comme Woodrocket. L’inénarrable SinisterSquad, débarquant peu de temps avant la sortie du Suicide Squad de David Ayer, perpétue cette recette, entre la dimension rudimentaire des FX, le synopsis opportuniste en mode « pompage de blockbuster » et la dérision assumée du spectacle.
Cabotinages, réappropriation parodique des codes hollywoodiens, interprétations discutables nivelées sur celles des acteurs de Batman v Superman XXX, titre renvoyant autant à Suicide Squad qu’aux Sinister Six (le gang de bad-guys de la mythologie Spider-Man)…ce comic-book movie-là n’est pas piqué des hannetons.
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