C’est paré d’un casting vocal digne d’une superproduction (Matthew McConaughey, Charlize Theron, Rooney Mara, Ralph Fiennes) que Kubo and the Two Strings débarquera en salles le 19 août prochain. Depuis leur création en 2005, les studios Laika ont su perpétuer leur propre vision de l’imaginaire, sous forme d’excursions généreuses et libres. Après avoir revisité tout […]
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C’est paré d’un casting vocal digne d’une superproduction (Matthew McConaughey, Charlize Theron, Rooney Mara, Ralph Fiennes) que Kubo and the Two Strings débarquera en salles le 19 août prochain. Depuis leur création en 2005, les studios Laika ont su perpétuer leur propre vision de l’imaginaire, sous forme d’excursions généreuses et libres. Après avoir revisité tout un folklore populaire, de l’horrifique à connotations halloweenesques (le macabre Paranorman) au conte moderne tendance Roald Dahl (Coraline, d’après Neil Gaiman) en passant par la fantasy (The Boxtrolls), ces créateurs d’images nous font désormais voyager aux confins de l’Ancien Japon. Un récit initiatique et burlesque sous fond de vendetta, de monstres et de dieux.
Au coeur du synopsis, l’ombre familiale : le jeune Kubo hérite du talent de son père – un légendaire Samouraï – et ainsi de son armoire magique, lui apportant une force surnaturelle. Entre fantaisies graphiques à la limite du cartoon, fantastique ancestral et action survoltée, ce film mouvementé semble rendre hommage à un chef d’oeuvre de l’animation : le Samurai Jack de Genndy Tartakovsky.
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