Projeté en janvier dernier au sein de la dernière édition du Festival de Sundance, White Girl nous emmène du côté de l’adolescence new-yorkaise paumée – entre pétards embrasés et coups d’un soir. Suite à une soirée tournant au désastre, la pétillante nymphette faisant office de protagoniste – et de personnage-titre – s’avère prête à tout […]
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Projeté en janvier dernier au sein de la dernière édition du Festival de Sundance, White Girl nous emmène du côté de l’adolescence new-yorkaise paumée – entre pétards embrasés et coups d’un soir. Suite à une soirée tournant au désastre, la pétillante nymphette faisant office de protagoniste – et de personnage-titre – s’avère prête à tout pour retrouver son amant passager. De la légère musique folk à l’overdose rock’n’roll, du premier baiser passionné aux orgies nocturnes, ce teaser à la fois désinvolte et romantique synthétise les émotions contradictoires inhérentes à l’âge ingrat.
Mais c’est surtout la sensuelle Morgan Saylor d’Homeland, blonde diaphane aux allures de party girl, qui transcende ce film-annonce fiévreux, dont la tonalité s’avère sensiblement proche des saillies trash du cinéaste Harmony Korine. Acclamé par Vice, Buzzfeed et The Hollywood Reporter, le premier long-métrage de la réalisatrice/scénariste Elizabeth Wood est déjà comparé par la presse anglosaxonne au Kids de Larry Clarke, teen movie emblématique des années 90.
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