Aux prémices des années 80, Hafez el-Assad, père de l’actuel Bachar, règne sur Alep. Malgré la dictature, les quelques images archivées par l’Institut national de l’audiovisuel et récemment mises en ligne gouachent une heureuse vision de ces terres anciennes, aujourd’hui en ruines. Loin de l’actuelle guerre civile syrienne, notre regard s’attardera par exemple sur le mouvement de vie de ces quelques femmes non […]
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Aux prémices des années 80, Hafez el-Assad, père de l’actuel Bachar, règne sur Alep. Malgré la dictature, les quelques images archivées par l’Institut national de l’audiovisuel et récemment mises en ligne gouachent une heureuse vision de ces terres anciennes, aujourd’hui en ruines. Loin de l’actuelle guerre civile syrienne, notre regard s’attardera par exemple sur le mouvement de vie de ces quelques femmes non voilées, se promenant au sein d’une population florissante, composant « l’une des plus anciennes cités du monde« . Cet « Alep avant la guerre » aux trois cents mosquées, multiethnique et en plein développement industriel, nous apparaît alors comme un lieu d’histoire – berceau des civilisations – et d’espoir, capitale économique et touristique du pays encore en émergence. Un reportage qui nous promène loin du « calvaire » et de la « honte » détaillés dans le dernier C dans l’air. Comme le raconte Le Figaro dans un long article sur le sujet, la ville d’Alep a longtemps été une cité pacifique et prospère, un véritable carrefour de civilisations.
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