La récente rencontre entre Marine Le Pen et Vladimir Poutine n’est pas anodine. Même s’il se défend de vouloir “influencer en aucune manière” le résultat des élections, le fait est que le Front national sollicite de l’argent russe pour financer sa campagne, et que la Russie exerce son magnétisme sur de nombreux partis d’extrême droite en Europe. C’est […]
La récente rencontre entre Marine Le Pen et Vladimir Poutine n’est pas anodine. Même s’il se défend de vouloir « influencer en aucune manière » le résultat des élections, le fait est que le Front national sollicite de l’argent russe pour financer sa campagne, et que la Russie exerce son magnétisme sur de nombreux partis d’extrême droite en Europe.
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C’est ce que démontre cette enquête diffusée sur Arte, consacrée aux partis populistes d’extrême droite en Slovaquie, en Bulgarie et en République tchèque. Le rejet de l’idéologie libérale, l’euroscepticisme et le nationalisme sont les pilliers fondateurs de ces « fans de Poutine ». Pour le Kremlin, l’intérêt à renforcer ces partis est clair : ils peuvent déstabiliser l’UE et l’OTAN, soit les deux plus grandes alliances occidentales. Une démonstration éclairante.
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