Cannes 2017 c’est parti. Mercredi soir, la maîtresse de cette 70e édition, Monica Bellucci lançait les festivités. La cérémonie plutôt bien rodée était notamment marquée par la danse endiablée – soldée d’un torride baiser – entre la vampe italienne et l’humoriste Alex Lutz, même s’il faut dire que tout ceci sentait un peu le réchauffé […]
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Cannes 2017 c’est parti. Mercredi soir, la maîtresse de cette 70e édition, Monica Bellucci lançait les festivités. La cérémonie plutôt bien rodée était notamment marquée par la danse endiablée – soldée d’un torride baiser – entre la vampe italienne et l’humoriste Alex Lutz, même s’il faut dire que tout ceci sentait un peu le réchauffé (on peut difficilement faire plus classe que le beau baiser de Catherine Deneuve donné à Laurent Laffite l’an passé).
C’était aussi mercredi qu’Arnaud Desplechin présentait en hors compétition ses Fantômes d’Ismaël aux côtés de Charlotte Gainsbourg, Mathieu Amalric et Marion Cotillard. Si des journalistes du monde entier (pour lire les nôtres c’est ici) partagent chaque jour, au fil des projections, leur premières impressions sur les films vus, comment la télé, et plus généralement les médias, relayent-ils le festival?
Voici donc l’interview dans Stupéfiant de Marion Cotillard par Léa Salamé dans un jardin en plein cœur du XVIe arrondissement. L’actrice revient sur sa carrière prodigieuse, son admiration indéfectible pour Charlotte Gainsbourg, héroïne bougonne pour toute une génération dans L’Effrontée et se remémore notamment le tournage douloureux de Minuit à Paris de Woody Allen : « les débuts ont été difficiles. Cela a été assez douloureux. J’ai accepté de ne pas être à la hauteur, d’être perdue et de faire du mieux que je pouvais« .
Prochain épisode demain.
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